interviews :

Interview datant de l'époque d'extrême limite d'origine inconnue. Malheureusement il manque le début. on prend le train en marche... C'était une pension mixte ? Non, à l'époque il n'y avait pas de filles. Bizarrement, je n'ai pas été très en avance sur ce plan-là. Vous avez un scoop ! (rire) Vous voulez dire que vous êtes encore vierge ? Non mais ça c'est passé il n'y a pas longtemps. J'avais 18 ans. J'ai été très sage jusqu'a cet âge. La première fois c'était bien ? Pas du tout, un bide monumental ! ça ne vous a pas dégoûté des filles pour autant ? Pas du tout, la nana ne savait pas que j'était puceau, ce qui fait que j'étais complètement déboussolé. d'autant que j'étais tombé sur une furie. A votre avis, pourquoi cette première expérience s'est-elle passée si tard ? Parce que je n'avais jamais eu l'occase. Il a fallu qu'elle me saute carrément dessus. Comme j'ai toujours été un peu grande gueule, les nana était persuadées que j'étais né pour ça. Alors qu'en fait, pas du tout ! Mais ça va, depuis, je me débrouille. Vous n'avez pas eu recours à un psy ? Non, ça va très très bien, il n'y a aucun problème. je me suis rattrapé depuis. Alors Dr Freud que voulez vous que je vous raconte maintenant ? Parlons de la musique, comment y êtes vous venu ? C'est venu encore plus tôt que la comédie. Papa nous a dit à tous, pour nos 6 ans : "conservatoire !". J'ai appris le piano, mon frère la trompette, ma sœur le piano et mon grand frère le violoncelle. Vous chantez ? Je chante. J'ai connu trois-quatre groupe qui ont végété dont j'était le leader. Je jouais du piano et je chantais. Maintenant je travaille avec un chanteur qui est le fils de l'acteur Jean Benguigui. Antoine Benguigui est un pote, il écrit des chansons et les chante, moi je fais du piano et les choeurs. On a pas encore fait de disques, mais ça va venir. Je vois une couverture de magazine avec James dean près de vous. Que représente-t'il pour quelqu'un de votre génération ? Un type bourré de talents complètement défoncé, qui s'est tué connement, ou peut-être qu'il a voulu se tuer ? Mais je l'aime bien, il a une bonne tète. En fait je le découvre maintenant. Je n'étais pas tellement attiré par James Dean, mais je trouve qu'il a une gueule vraiment intéréssante Plus jeune, qu'est-ce qui vous a fait rêver ? Quand j'était gosse, j'ai eu ma période "E.T.", et comme tout le monde, je suis toujours fou de Spielberg. Je n'ai jamais été porté sur les posters. J'adore Clint Eastwood, Sean Connery, tous ces acteurs qui sont des monstres sacrés. L'idée de tournée aux États-Unis vous fait rêver ? Complètement. Je suis prêt à travailler en anglais. Je pourrais même travailler en russe car ma mère est soviétique. J'ai l'habitude d'entendre cette musique. Je pourrais m'en sortir. Quel est votre caractère ? Je suis un peu lunatique. Je change beaucoup, Du tout au tout. Facile à Vivre ? Je commence à mûrir. L'année dernière au même endroit, alors que nous tournions la première série, j'étais beaucoup moins facile à vivre. Beaucoup de gens m'ont dit que j'avais énormément changé depuis l'année dernière. Qu'aviez vous fait ? J'ai tout cassé ici, j'ai pété les plombs. C'est très éprouvant d'être là, on ne s'en pas compte quand on vient quelques jours. Mais quand on est là durant deux mois, on voit tout le temps les même gens, on est tout le temps ensemble, dès qu'on veut sortir, après une journée de travail, on tombe forcement sur les gens de l'équipe. Au bout d'un moment, même si on adore être là, on en a un peu marre. Cette année, c'est très sage, tout le monde est calme. On sait qu'on va revenir en septembre pour trois mois et qu'il faut se ménager ! On peut imaginer que toute l'équipe délire de temps en temps. Cela se passe comment ? Par des soirées démentes. Quand on est quatre-vingts déchaînés, ça peut faire mal, très mal. Qu'avez-vous envie de dire à vos fans ? Vive la vie ! L'année dernière vous la détestiez et aujourd'hui vous l'adorez ? Non j'aimais bien la vie, mais rapide. Maintenant, je me suis calmé. Je continue à emmerder les voisins avec ma musique et a foutre un souc pas possible, mais j'évite maintenant de casser des lampes avec mes mains, de shooter dans les lampadaires ou de faire des crissements de pneus pendant deux heures dans le parking !

 

L’amitié est-il un sentiment qui compte beaucoup pour toi ? Pour moi, c’est le plus fort. Moi, mes histoires d’amour n’on jamais tenu. Par contre, toutes mes histoires d’amitié sont encore debout. Ta vie privée a-t-elle souffert de ton ambition de réussir dans la chanson ? Oh, oui. Ma vie professionnelle a été la cause de mon divorce. On ne peut pas demander à quelqu’un de choisir entre sa vie sentimentale et sa vie professionnelle quand celle-ci est si exigeante et si exaltante. La réussite n’est pas forcément ce que je cherche. Mais j’étais avec quelqu’un qui faisait le même métier et cela devenait inconciliable. La comédie musicale n’a pas été épargnée par les critiques. Qu’est-ce que cela t'inspire ? Bien sûr qu’ "Aimer " est une chanson mièvre. Mais c’est une des facette d’une histoire d’amour. Quand on est amoureux fou et transi, il y a toujours un côté mièvre. Et la chanson qui est sortie représente ce côté-là de la vie amoureuse de deux adolescents. Ce n’est qu’une chanson parmi trente quatre autres. De toute façon, on ne peut pas empêcher les médias de fondre sur une proie facile. Damien et Cécilia sont très jeune. Moi, on ne m’aurait pas embêté comme ça. Aux yeux de qui te sens-tu le roi du monde ? Je me sens le roi du monde dans les yeux de mon fils. Quand il me regarde avec son petit sourire et qu’il m’appelle papa, alors là, oui je sens vraiment le roi du monde. Cela vaut toutes les comédies musicales du monde.